DISTROPIE Distropie, c’est de la diffusion futile, des revues, des brochures, des livres, des vinyles, des lance-pierres, du rouge à lèvres anti-bolchévick, du pilipili pour les cheveux indomptables, du bon vieux punk qui fait mal aux orteils, de la grande littérature à vomir debout, des lances anti-toux foudroyantes et de la mauvaise humeur comme il se doit. Tout ce grand trafic se fait sous le manteau, dans la pénombre et le désordre des lieux malfamés de la société du spectacle.
Le Boucher des Hurlus, Jean Amila, 1982, Folio policier (2001), prix libre
Après la Première Guerre mondiale, quatre fils de mutins de 17 sont résolus à se venger du général responsable de l’exécution de leurs pères.