DISTROPIE
Distropie, c’est de la diffusion futile, des revues, des brochures, des livres, des vinyles, des lance-pierres, du rouge à lèvres anti-bolchévick, du pilipili pour les cheveux indomptables, du bon vieux punk qui fait mal aux orteils, de la grande littérature à vomir debout, des lances anti-toux foudroyantes et de la mauvaise humeur comme il se doit. Tout ce grand trafic se fait sous le manteau, dans la pénombre et le désordre des lieux malfamés de la société du spectacle.
Distropie, c’est de la diffusion futile, des revues, des brochures, des livres, des vinyles, des lance-pierres, du rouge à lèvres anti-bolchévick, du pilipili pour les cheveux indomptables, du bon vieux punk qui fait mal aux orteils, de la grande littérature à vomir debout, des lances anti-toux foudroyantes et de la mauvaise humeur comme il se doit. Tout ce grand trafic se fait sous le manteau, dans la pénombre et le désordre des lieux malfamés de la société du spectacle.
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Sur la table
dimanche 21 avril 2024, par
La Solitude du coureur de fond, Alan Sillitoe, 1960, Folio (1979), prix libre
La cité industrielle de Nottingham, dans les années 50, ne manque pas de shérifs qui veillent à ce que chacun file droit. Neuf nouvelles qui suintent la violence de la société anglaise, par un « jeune homme en colère ». Borstal Breakout !
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